Friday, September 23, 2011

Wrong use of a technical expression/Utilisation erronée d’une expression technique

During a recent assignment, the client used the initials PTT in a quote destined for a French-speaking customer.  My preliminary research in Termium found that this meant push-to talk and gave as an equivalent “microphone button”. Unfortunately, this meaning just did not fit within the context of the piece.

Lors d’un travail récent, un client utilisa le sigle anglais PTT dans une devis destiné à un acheteur français. Dans ma première recherche, Termium a trouvé push-to-talk avec comme équivalent bouton de microphone.  Le malheur est que cette expression ne collait pas du tout dans le contexte de mon devis.

I called the client and gently asked for an explanation – to be told that it was push-to-talk. I explained then what the Canadian Govt Terminology bank had given as an equivalent – and I just could not figure out where the microphone button was. The client all of a sudden changed his tune, explained that no button existed and that this was really a modem. A device that could talk to a satellite to transmit data.

Délicatement, j’appelle le client qui m’explique qu’il s’agit d’un argot technique – push-to-talk. Je lui explique alors ce que j’avais trouvé dans Termium et que je ne savais pas où se trouvait se fameux bouton.  Il se ravise et m’explique  qu’il n’y a pas de bouton et qu’un synonyme serait le mot modem. Il s’agissait en effet d’dispositif qui peut dialoguer avec un satellite par lui communiquer des données. 

Morale : ne pas traduire ce que l’on ne comprend pas, à n’importe quel prix, dans n’importe quelles circonstances.

Moral of the story : do not translate that which you do not understand, at any price, in any circumstance.

The translator must understand/le traducteur doit comprendre


Some time ago, I was asked to translate subtitles to a sales video dealing with a somewhat technical piece of equipment. The wording was generally easy to grasp except one part where despite the words used, I just could not understand what was being said. 

Il y a quelque temps, un client m’a demandé de traduire les sous-titres d’une vidéo de ventes d’un produit d’une certaine technicité. Le vocabulaire était relativement facile sauf un passage  que je n’arrivais pas a comprendre, même si les mots en paraissaient simples.

Fortunately, I was able to speak with the author who looked at the text and explained that the English had been quickly dictated into a Speach recognition software and the essential proofreading had been missed. He quickly provided the corrected English which I immediately translated into French.

Heureusement, j’ai pu parler à l’auteur qui, ayant jeté un coup d’oeil sur le texte, s’empressa de me préciser que le texte anglais avait été dicté dans un logiciel de reconnaissance de la parole et que la révision, si essentielle, n’avait pas eu lieu. Il me fournit sur-le-champ les mots corrects ce qui me permit de vous donner une traduction immédiatement.

For a beginner translator, the temptation is great to say – the client knows what he is speaking about, who am I to question the English?  Asking for an explanation in a diplomatic way was all that it took.  How often to you speak to your translator?

Un traducteur débutant serait tenté de dire – le client sait de quoi il parle, je n’oserai pas douter de ce qu’il dit.  Une question posée de façon diplomatique apporta la réponse. Parlez-vous souvent avec votre traducteur?